Professeur de yoga loue quelques heures par semaine local utilisé pour une activité de yoga.
Situation: Salle Untxinânanda 4 place Koxe Arbiza 64500 CIBOURE – SOCOA
Contact : decupere.francoise@orange.fr / 06 33 93 98 65

Professeur de yoga loue quelques heures par semaine local utilisé pour une activité de yoga.
Situation: Salle Untxinânanda 4 place Koxe Arbiza 64500 CIBOURE – SOCOA
Contact : decupere.francoise@orange.fr / 06 33 93 98 65
DATES:
4 octobre 2020
31 octobre 2020
21 novembre 2020
12 décembre 2020
HORAIRE: 10h/12h
LIEU: Utxinananda 4 place Koxe Arbiza. Ciboure Socoa
TARIF: 20 EUR
CONTACT: mballotlena@gmail.com – 06 31 45 56 75
De la conception à la naissance le yoga propose différents outils et directions de pratiques pour accompagner le processus vers la naissance d’un enfant et d’une mère.
Ce stage s’adresse à toutes les personnes (maman, futur maman, sage-femme…etc…)
désireuses de découvrir ou d’approfondir leur connaissance du yoga sur le thème très
spécifique de la grossesse et la maternité.
En résidence à Saint Esteben « Les fous du village » Quartier Sorhaburu.
Tarifs enseignements : Adhérents IFY : 160 € / Non-adhérents : 180 €
Tarif hébergement / pension complète du vendredi soir au dimanche : 140€
Raffiner et maitriser son verbe.
La dyade : Assis face à face communiquant tour à tour à partir d’une question donnée, respectant un ensemble de conditions qui permettent et garantissent une pleine liberté d’expression en toute sécurité.
Durant ces après-midis, avec un/une partenaire vous pourrez explorer divers aspects de votre vie grâce à des questions étudiées précisément pour vous guider dans la clarification de ceux-ci.
Cette pratique simple et efficace offre un espace de relation et de communication consciente.
Plus qu’une pratique individuelle, la dyade de communication est une invitation à améliorer et approfondir notre relation à l’autre, au groupe et bien sûr à nous -même.
Percevoir précisément en soi ce qui se produit et le communiquer avec clarté.
Être dans une écoute libre du poids de nos attentes, jugements et projections.
Dans la non-violence et la véracité, avec précision et justesse ce processus nous amène à
transformer notre façon de communiquer et d’être en lien.
Ce stage s’adresse à toute personne désireuse de créer une communication vraie et des
relations authentiques. Ouvert aux yogis et non yogis.
Arrivée le vendredi soir à 19h.
En résidence à Saint Esteben « Les fous du village » Quartier Sorhaburu.
Tarif pour les 5 jours d’enseignement : 375€ adhérent ify / 400€ non-adhérent.
Tarif hébergement 5 nuits / pension complète du vendredi 12 au mercredi 17 : 300€.
Les 4 attitudes dans la vie quotidienne sources de plénitude et de paix.
Lundi-mardi-mercredi-jeudi de 7h à 12h.
Tarifs stage complet : 160 € Adhérents IFY/ 180 euros Non-adhérents.
Stage « à la carte » contacter Isabelle.
Dimanche de 8h30 à 12h30.
20 septembre 2020
18 octobre 2020
22 novembre 2020
13 décembre 2020
17 Janvier 2021
21 février 2021
28 mars 2021
9 mai 2021
20 juin 2021
Tarifs : 30€ adhérents IFY / 35€ non-adhérents
Svadhyâya ou observation de soi à travers l’enseignement du yoga.
Un vendredi par mois de 18h30 à 20h30 par Skype ou sur place à Souraïde:
18 Septembre 2020 / 16 Octobre 2020 / 20 Novembre 2020 / 11 Décembre 2020 / 15 janvier 2021 / 19 Février 2021 / 26 Mars 2021 / 7 Mai 2021 / 18 Juin 2021
DATES DES ATELIERS:
Le samedi pour les personnes débutantes qui n’ont pas d’expérience de chant védique (ou très peu) et le dimanche pour les personnes plus expérimentées:
14 et 15 novembre 2020
9 et 10 janvier 2021
6 et 7 mars 2021
24 et 25 avril 2021
12 et 13 juin 2021
HORAIRES:
9h30/12h30 – 14h/17h.
Même horaire samedi et dimanche.
LIEU:
UTXINANANDA
4, place Koxe Arbiza
CIBOURE Socoa
TARIF:
60€ la journée.
CONTACT:
mballotlena@gmail.com – 06 31 45 56 75
Professeur de yoga loue quelques heures par semaine local utilisé pour une activité de yoga ou toute autre activité ayant ce même but courant viniyoga ou proche.
Contact : Elizabeth RAPAPORT-L’HOSTE
Cours de Yoga
68 rue Stéhelin
33200 Bordeaux
06 83 24 60 72
Historique, cheminement, création de l’école de l’enseignement du yoga en France, de TKV Desikachar à Viniyoga à l’IFY
Me voici dans la position d’un historien qui ne s’est jamais soucié de mémoriser des dates !
Certes, je sais que mon premier séjour à Madras (aujourd’hui Chennai) a bien été au cours de l’automne et hiver 1966 et qu’il a duré six mois. Ce fût la découverte de la gentillesse et de l’écoute de TKV Desikachar, de la rigueur de T.Krishnamacharya, un homme à la présence et au regard impressionnants mais aussi la possibilité de continuer à fréquenter les causeries données par J.Krishnamurti à Vasanta Vihar, maison et jardin dans lesquels l’hébergeait la Fondation Krishnamurti.
Desikachar, par souci de mon bien-être avait réservé une chambre chez un major de l’armée de religion chrétienne, en pensant que je serais moins dépaysé ! En fait je préférais le quartier brahmane de Mylapore, proche de Mandavallipakam, le quartier ou T.Krishnamacharya et son épouse et leur fils vivaient alors.
Je m’identifiais plus à la culture et à la religion brahmanique qu’à la chrétienté, mes « soi-disant » racines.
En outre cela m’aurait économisé de longs trajets en bus pour me rendre aux cours.
À cette époque Desikachar n’avait pas encore institué le Krishnamacharya yoga mandiram ; il donnait ses cours particuliers dans sa chambre minuscule où j’ai découvert le trésor d’un enseignement personnalisé et respectueux de mes besoins et de mes limites, ce qui continua tout au long de ma relation avec mon professeur, jusqu’à la fin des années 80.
Peu après d’autres enseignants français ou belges ou suisses dont la notoriété est aujourd’hui évidente vinrent à leur tour se joindre au petit groupe des premiers élèves européens de Desikachar : en premier ce fût Claude Maréchal à qui j’avais parlé ce cet enseignement hors du commun, puis ce fût le tour de Bernard Bouanchaud, puis de Laurence Maman, tous rencontrés au cours de stages organisés par la Fédération nationale des enseignants de yoga, et enfin Peter Hersnack, rencontré à Brockwood park, l’école fondée en Angleterre par la Krishnamurti foundation où j’eus le bonheur d’enseigner en 1969 et 1970 et où est né mon fils Ariel, sans oublier Malek Daouk.
Lorsque Gérard Blitz, élève direct de T.Krishnamacharya qui avait soigné son épouse de l’époque, créa les rencontres de l’union européenne de yoga à Zinal, au Club méditerranée situé dans ce charmant village valaisan, nous étions plusieurs à souhaiter trouver une dénomination plus juste que ce qui avait cours à l’époque : »le yoga de Madras) ; après deux jours de réflexion Desikachar nous proposa : « Viniyoga » et nous acceptâmes ce terme avec enthousiasme.
Dès lors s’enchaînèrent la création du « Viniyoga international association » et de la « Fédération française de Viniyoga », qui se renomma ensuite très rapidement en « Fédération française de yogaviniyoga ».
Très vite aussi vinrent les différents stages animés par Desikachar en France, à Entremont, à Forgeassoud, à Sévrier, à l’Arbresle et puis la séquence conduisant au diplôme viniyoga international : d’abord le stage de sélection à Vaison la Romaine, ensuite le premier passage d’épreuves à Grimentz, puis le second passage d’épreuves à Paris.
Entre temps sa notoriété grandissait et ses élèves américains le faisaient connaître d’est en ouest et du nord au sud !
Plusieurs années s’écoulent et, au grand désarroi de la plupart de ses élèves, Desikachar demande un jour, assez abruptement, d’abandonner le terme viniyoga, considérant qu’aux États-Unis c’était devenu une étiquette commerciale dont il ne voulait pas.
Les formateurs de la FFYV choisirent d’accéder à sa demande et Laurence suggéra le nom : « Institut français de yoga » pour identifier notre association.
D’autres formateurs, dont Claude Maréchal ou Paul Harvey en Angleterre refusèrent et ont conservé la dénomination « viniyoga ».
Un jour nous eûmes la surprise de recevoir rue de Valois, local que nous occupions depuis l’origine, grâce à Bernard Bouanchaud, une demande de Kaushtub, le fils de Desikachar, lequel souhaitait rencontrer le groupe des formateurs de l’IFY.
La rencontre fût déconcertante car Kaushtub était simplement venu nous signifier que notre institution disparaîtrait dès que le dernier élève de son père mourrait et que c’était lui, dorénavant, la seule source authentique et le seul référent de l’enseignement de son grand-père.
Fort heureusement cet électro-choc fût salutaire et conduisît à un resserrement de nos liens, de nos échanges, de notre coopération et a donné l’Institut tel que vous le connaissez aujourd’hui.
Puisse-t-il s’épanouir encore et contribuer à la longévité et à la justesse de l’enseignement du yoga dans le monde.
François Lorin
10/01/2017